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Réseau des Musées

Quoi de neuf?

2023-03-17
 Interprétation...
 
Dans notre vie personnelle et collective le terme « interprétation » prend une place importante. Il dépasse donc la clarification, l’explication, les commentaires, bien qu’il les suppose.
Attardons-nous un peu sur quelques interprétations rigoureuses et vivifiantes :

 
L’interprétation théâtrale : L’artiste qui joue un rôle doit non seulement connaître les répliques de son personnage, mais aussi l’ensemble de la pièce conçue par l’auteur. Il doit collaborer avec l’équipe théâtrale pour traduire lesgestes et les sentiments des personnages avec passion et créativité... 
Succès de l’art dramatique! 

L’interprétation scientifique : Dans l’expérience médicale, l’expert scientifique s’applique à trouver des solutions adéquates et efficaces. Il doit analyser plusieurs données objectives, les comparer avec d’autres chercheurs dans le domaine; s’oublier lui-même et partager ses sources d’information...          

 Souci du prendre soin!

L’interprétation littéraire : Le lecteur, dans son travail, est appelé à dégager le sens général du texte, le comprendre et le mettre en lumière, au-delà des expressions écrites...  

Sagesse des mots!

 Et nous, qu’en est-il de notre aptitude à donner sens à nos sentiments, à notre agir et à nos expériences spirituelles? Il faut sans doute prendre conscience de notre être intérieur, mais aussi aller au-delà... Dans ces profondeurs mystérieuses, nous rencontrons l’Autre qui y habite, Voilà l’expérience spirituelle, possible au cœur de toute personne...

Silence du recueillement!

 
                        En toute circonstance, avançons inlassablement et courageusement.
                                               Bonne découverte!
 
Lisette d’Astous, R.S.R.

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L'éditorial Élisabeth Turgeon

2023-03-06
UNE NAISSANCE REMARQUABLE
 
« Marie-Élisabeth, née le 7 février 1840,
précédée au berceau familial
d’un frère et de trois sœurs,
fut baptisée le lendemain
et eut pour patronne,
Sainte Élisabeth de Hongrie.
La famille s’augmenta dans la suite
De 4 filles et d’un autre fils qui vécut à peine dix-huit mois.
 
Élisabeth Turgeon montra de bonne heure
en grand attrait pour l’étude,
à six ans elle savait lire, à sept ans,
attentive et appliquée, elle apprenait le catéchisme.
Tous les membres de la famille
étaient attirés par les charmes de sa distinction.»
                                (Extraits de Un rêve inouï et Ange et Semeuse)

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Quoi de neuf au Centre d'éducation chrétienne?

PRÉSENTATION

2022-06-02

Notre programme d’activités s’inscrit dans la ligne de la vision que l’équipe du CEC s’est donnée en 2016.

Vision :  Être une présence d’Évangile au cœur du vécu des jeunes.

Quatre (4) balises importantes :  Accueillir… Sortir (aller vers)…Proposer des expériences… Collaborer …, encadrent nos initiatives, nos lieux de présence et nos collaborations avec d’autres instances en éducation et en accompagnement des jeunes.

L’énoncé de notre mission :  Nous approcher des jeunes et les accompagner sur leur chemin de vie, constitue un défi incontournable à relever à l’heure des réseaux sociaux omniprésents et dans un contexte social où la référence religieuse et chrétienne est de plus en plus absente.

Nos interventions se doivent d’être ajustées à ces réalités.  Des expériences de  rencontre avec soi, avec les autres et avec Jésus Christ nous semblent un chemin privilégié d’humanisation et d’évangélisation.  

Pour alimenter votre intérêt et votre collaboration, nous vous invitons à  consulter les sessions offertes aux adultes et les diverses activités proposées aux jeunes (5-35 ans).  

Ensemble, supplions la Bienheureuse Élisabeth Turgeon d’intercéder afin que se lèvent des disciples audacieux et courageux  qui portent joyeusement la Bonne Nouvelle de Jésus Christ, en particulier auprès des jeunes.


Cécile-Marie Fournier, r.s.r.
directrice

 

Pour consulter les activités offertes par le Centre d'éducation chrétienne, cliquer sur:
cec_retour.jpg

 

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Les étincelles (6-12 ans)

2022-12-06
 Message aux enfants
 
            À tous les jeunes,
 
            Prépare ta liste de cadeaux,
 
            tes mots gentils, tes dessins
 
           et n’oublie pas d’y inscrire
 
           ton nom et ton adresse pour
 
           recevoir une réponse.
 
           Le Père Noël a promis de
 
            répondre à chacune
 
            et à chacun de vous.

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Une oasis (13-30 ans)

2021-08-06
Je m’appelle Olivier.
 
Tous les matins, je me réveille à 6 heures et demie. Mais j’aime beaucoup dormir alors je me lève à 7 heures.
 
Ma mère me dit toujours : « Olivier! Dépêche-toi! »
 
Alors, je saute de mon lit, je m’habille très vite. Je prends mon petit-déjeuner, je cours dans la salle de bain à 7 heures et demie. Je me lave les dents et je sors de la maison à 8 heures. 
 
Je vais à l’école en voiture avec mon père.
 
L’école commence à 8 heures et demie.
À l’école, j’écoute bien mes professeurs et je travaille. À midi, je dîne très vite, parce que j’adore jouer avec mes amis.
L’après-midi à 16 heures, je rentre à la maison.
 
Je suis très fatigué. Je veux jouer, mais j’ai toujours des devoirs. Je commence mes devoirs à 18 heures et je finis à 19 heures.
Je veux dormiiiiir! Mais non ! je ne peux pas dormir parce que c’est l’heure du souper. Alors je mange avec ma famille dans le salon à 20 heures.
 
À 21 heures, je me douche, je me lave les dents très vite et je me couche à 21 h 30. OUF!
 
Texte pris sur le Web

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Écho des personnes associées

2022-12-01
Geste symbolique : TRANSMISSION DE LA LUMIÈRE
 (Note : Ce texte a guidé la préparation du rituel de transmission de la lumière
à l’occasion du rappel de la montée au couvent neuf le 18 novembre 2022.)
 
Cette lumière, symbolisée ici par la lampe à l’huile, a continué d’éclairer et même de projeter plus loin ses rayons afin de découvrir de nouvelles façons de se propager…

À partir de 1981, quelques religieuses de la Communauté jettent un éclairage spécial sur la possibilité d’inviter des personnes laïques à s’associer à la spiritualité et à la mission de la Congrégation.

En 1982, un comité de recherche est formé, sous la direction de Sœur Lisette Lepage. Un document de travail est produit. La Supérieure générale, Sœur Rita d’Astous, et son conseil acceptent alors, à titre d’expérience, le projet de personnes associées.   

Puis, à la lumière de quelques expériences concluantes, le projet est officiellement accepté au Chapitre général de 1985 et devient l’Œuvre des personnes associées.

C’est donc depuis 37 ans déjà, que la Congrégation offre à des personnes laïques, hommes, femmes, jeunes et moins jeunes,  de partager la richesse de son héritage spirituel et de propager le rayonnement de son charisme et de sa mission dans le monde.

Désormais, nous, les personnes associées,  nous sommes les porteurs et porteuses de la flamme qui nous a été transmise. Elle guide nos pas et nous incite à la faire rayonner dans nos milieux respectifs.

Dans un geste symbolique, pour illustrer la transmission de la lumière, Sœur Lisette Lepage, accompagnée d’une personne associée de la première heure,  va  aller chercher la flamme à la lampe pour ensuite la transmettre à la bougie, qui représente l’Œuvre des personnes associées. 

Les personnes associées présentes et la Directrice de l’Œuvre accueillent la bougie et prononcent fièrement un bref engagement : « Avec vous, chères religieuses  de Notre-Dame-du-Saint-Rosaire, nous continuons de porter la lumière que vous nous avez transmise. » 

                                                           La collaboratrice nationale du Canada,

                                                           Lise Blouin

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Quoi de neuf au Musée?

2023-05-16
           Clin d'œil sur les lieux de mission
          des Sœurs de Notre-Dame du Saint-Rosaire
 

Saint-Augustin, (Basse-Côte-Nord)

Fondation : Le 26 avril 1955, quatre religieuses arrivent à Saint-Augustin à bord du bateau Jean-Brillant.

Clientèle scolaire : Le 21 septembre, les classes ouvrent leurs portes à 102 élèves. « Ils sont charmants, pieux et pleins de vie. La vraie vie missionnaire commence : pas d’électricité, pas d’eau courante, pas de chemins qui relient les petits villages entre eux. » En 1967, une classe pour les indiens s’ouvre à l’école des Blancs. En 1971, un agrandissement est nécessaire pour recevoir plus de 275 élèves. Devant l’augmentation de la population écolière, une nouvelle école ouvre officiellement, le 15 novembre 1979.
 
Événement : Le 1er septembre 1976, l’église et le presbytère occupé par les sœurs, sont la proie des flammes. Une maison est louée par la Commission scolaire pour loger les religieuses, jusqu’à l’installation d’une maison préfabriquée en novembre 1977. Le 29 novembre, les paroissiens sont heureux de participer à la première messe dans leur église neuve. La modernisation s’installe peu à peu sur la Basse-Côte : électricité 1964; télévision canal français et anglais de Radio-Canada, 20 décembre 1978 ; piste d’atterrissage 1979. Dans la chronique de 1964, avant l’électricité on note : « Les jours d’hiver n’apportaient que le jappement plaintif des chiens, maintenant nous ne pouvons plus distinguer les bruits multiples... hélicoptère atterri, scies mécaniques qui grondent, moteur pour électricité sont activés, ski-doos tapent la neige fraîchement tombée...»

 Œuvre : En plus de l’enseignement primaire et secondaire, et les activités auprès des jeunes, les religieuses accomplissent des tâches de pastorale paroissiale et de catéchèse. À la Réserve Pakuashipi, trois religieuses enseignent dans ce village indien de Saint-Augustin de 1980 à 1983.
 
Présence : Le 22 mars 1981, l’évêque annonce le départ définitif des sœurs : manque de personnel bilingue et besoin de ressourcement des personnes déjà en place. La nouvelle est accueillie non sans surprise et avec beaucoup d’amertume. Une messe d’action de grâce et un goûter le 26 juin 1981 sont signes de reconnaissance même si « les cœurs sont remplis de tristesse ».
De 1996 à 2000, deux religieuses reviennent à Saint-Augustin; De 2006 à la fin 2022, une religieuse est mandatée comme agente de pastorale. Quels que soient leurs engagements, les sœurs apprécient la vaillance et la collaboration des gens. Elles s’impliquent avec ardeur pendant 49 années, dont elles gardent le meilleur souvenir!
 
La Rédemption (Matapédia)

Fondation : Le 18 août 1955, trois religieuses arrivent à la Rédemption, après une attente de 2 ans pour les paroissiens.

Clientèle scolaire : « Dès le 6 septembre, la gente écolière est là attendant de faire connaissance avec les religieuses. Ils sont 158, garçons et filles de 1ère à la 10e année, répartis en 4 classes. » Les examens du Département de l’Instruction publique sont administrés à 4 élèves de 9ième année et 12 élèves de 7ième année. Une religieuse s’ajoute au trio déjà là, et accepte la direction de la classe du rang no 9 laissée vacante. Ce nouveau groupe occupe, temporairement le théâtre de la salle de récréation. En 1956, 200 élèves se présentent au couvent, on organise 3 locaux au sous-sol. En 1957, croissance démographique : 252 élèves de la 1ère à la 11e année, regroupés en 8 classes. Devant le manque de locaux, on se questionne : « doit-on agrandir le couvent ou construire une école pour les garçons? La deuxième alternative prévaut. Le 4 septembre 1962, les deux écoles du village : le Couvent et le Collège ouvrent large leurs portes pour recevoir 387 écoliers. Quatorze classes fonctionnent activement et une institutrice spécialisée en enseignement ménager s’ajoute aux professeurs réguliers. »

Œuvre : En plus de l’enseignement au primaire et au secondaire, « à la Rédemption, les religieuses ne sont pas sans avoir une grande part aux activités para-scolaires. Elles participent, avec l’aide de leurs élèves, à l’organisation de la vie liturgique par le chant, par les lectures bibliques et l’animation au cours des préparatifs propres à la réception des sacrements. »
 
Présence : Même si en 1973, on ferme la maison de la Rédemption, une religieuse continue d’enseigner au couvent jusqu’en 1976, tout en demeurant à Sainte-Jeanne d’Arc. Les religieuses ont été présentes de 1955 à 1976, collaborant avec les gens du milieu. Elles ont apprécié, l’enthousiasme et la ferveur des paroissiens pour la croissance « de La Rédemption, une des plus jeunes et peut-être des plus florissantes paroisses de la région, fondée en 1936. » Aujourd’hui, la municipalité offre ses magnifiques et incontournables sentiers de randonnées!
 
Saint-Noël, (Matapédia)

Fondation : Le 25 août 1956, quatre rosaristes prennent la direction du Couvent de Saint-Noël.

 Clientèle scolaire : Peu de détail sur la clientèle scolaire sont inscrits dans la chronique avant 1954, puisque Saint-Noël « formait déjà vers 1920 une municipalité de village assez considérable, connue sous le nom de Saint-Moïse-Station et faisait partie de Saint-Moïse, troisième paroisse organisée dans la Vallée. » Dès 1944, lors de la formation de la Desserte de Saint-Noël, l’école du village est déjà trop petite. On songe à un agrandissement. On la transporte à l’est du chemin Matapédia.
« On rajeunit cette école, l’une des plus anciennes de la région, par un revêtement en bardeaux d’asphalte. Elle se para du joli nom « École Blanche ». Vers 1954, l’augmentation des élèves exigea une solution au problème de l’école. On décida la construction de six classes avec logement pour les religieuses. » En 1956 « un couvent aux lignes modernes, gai, confortable et très bien organisé au point de vue pédagogique, s’élève et l’École Blanche lui est annexée.
 
Événement : « Le 22 février 1962, cette maison d’éducation est rasée dans l’incendie qui détruisit l’École Blanche. » L’année s’achève dans des conditions pénibles. Malgré tout cela, les jeunes se montrèrent très attachés à leurs professeurs et manifestement sensibles à l’épreuve qu’ils ont à vivre. Le 17 septembre 1963, les onze classes sont envahies par 265 élèves dont 190 au cours primaire et 75 au cours secondaire. Toutes les classes sont mixtes. »

Présence : « En 1964, jugeant qu’il est temps de se retirer définitivement, les sœurs le font non sans regret. » De courte durée (1956-1964) les religieuses ont vécu avec dévouement leur mission d’éducatrices à Saint-Noël. Cette paroisse « est sise à une altitude d’environ 500 à 540 pieds à l’intérieur de la Vallée de Matapédia. Les forêts, qui couvrent ses collines, lui font un nid de verdure où se blottissent ses habitations. » Milieu naturel encore souhaitable, aujourd’hui!

Lisette d’Astous, R.S.R   
                                                    
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Prière du Rosaire

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Rayonnement de la congrégation

Élisabeth Turgeon, la fondatrice de notre communauté, est venue de Beaumont à Rimouski en 1875. Notre mission d'éducatrices a pris diverses formes depuis, selon les pays et les cultures où nous oeuvrons : enseignement, pastorale, animation, accompagnement. Les soeurs qui forment la communauté aujourd'hui sont originaires de 6 pays différents; le Canada, les États-Unis, le Honduras, le Pérou, le Guatemala et le Liban.

Pour en savoir davantage sur l’expansion missionnaire de la congrégation, consultez la section

Expansion missionnaire

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