Le 10 novembre 1989, la supérieure générale suggère une sœur comme postulatrice1. de la cause de canonisation2. de Marie-Élisabeth Turgeon, choix approuvé par Mgr Gilles Ouellet, archevêque de Rimouski. C’est le premier pas dans le long processus de la reconnaissance de la sainteté de cette Servante de Dieu. Voici les autres pas franchis depuis :
Pour plus d’informations et de définition, consulter le site Internet du Saint-Siège (Vatican)
Les publications de la collection « Rayonnement » visent à mettre à profit les recherches effectuées par les membres de la Commission historique en vue du Rapport à présenter à l’Archevêque du diocèse dans le cadre de l’enquête sur la renommée de sainteté de la Servante de Dieu. Chaque brochure aborde un aspect de la personnalité et de la spiritualité d’Élisabeth Turgeon dans le but de la faire connaître, aimer et prier.
Personne à qui l’on confie la responsabilité d’une cause de canonisation et qui doit poser les actes nécessaires à son aboutissement.
Procédure qui permet de prouver qu’une personne a pratiqué les vertus chrétiennes à un degré héroïque et qui conduit à reconnaître sa sainteté.
